maGma
Oeuvre pluridisciplinaire / 2018 / Dakar
maGma est l’issue d’une résidence de 3 mois à l’agence de communication McCann Dakar, qui s’est inscrite dans le cadre du Off de la Biennale Dak’Art 2018. maGma est une exposition performative qui regroupe 4 installations visuelles, une installation sonore et une performance (crée par Alexandra Huet avec un laboratoire de 10 femmes). L’oeuvre aborde le thème du féminin sacré et de la sororité.
En collaboration avec l'artiste performeuse
Alexandra Huet
Photographies : Jean-Baptiste Joire, Guillaume Bassinet, Seydina Ousmane Boye
Crayon et peinture sur papier - 1,50 m de long x 6 m de haut - Détail
Crayon et peinture sur papier - 1,50 m de long x 6 m de haut - Détail
Détail de la couverture avec logo
Crayon et peinture sur papier - 1,50 m de long x 6 m de haut - Détail
maGma
Oeuvre pluridisciplinaire / 2018
maGma est l’issue d’une résidence de 3 mois à l’agence de communication McCann Dakar, qui s’est inscrite dans le cadre du Off de la Biennale Dak’Art 2018. maGma est une exposition performative qui regroupe 4 installations visuelles, une installation sonore et une performance (crée par Alexandra Huet avec un laboratoire de 10 femmes). L’oeuvre aborde le thème du féminin sacré et de la sororité.
En collaboration avec l'artiste performeuse
Alexandra Huet
Photographies :
Jean-Baptiste Joire
Guillaume Bassinet
Seydina Ousmane Boye
« Le sol s’ouvre. Le cœur tremble. Sous la peau, les lacs sombres s’entremêlent en un tissage du vivant. Du fond des terres émergent les racines de feu, jaillissement de nos ancêtres. Des corps. Ils s’entremêlent, se nouent, respirent ensemble, accordent ténèbres et nitescences. Un doigt se pose sur une nuque, une pupille se dilate sous la chevelure, les muscles se torsadent. Elles se déplacent. Mobiles et fluides, dix existences se délient au sol comme l’écoulement d’une larme sur le sable. Le vent les pousse, ensemble elles roulent. Se déroulent. Elles ne sont plus qu’un tout, une être nu, un animal rampant, une vie multiple, infinie. Elles se déversent à nos pieds, matière souple et charnelle. Le silence qui les habite n’est autre qu’un émoi, une tension, un souvenir lointain du ventre du monde. Femmes. »
Extrait du texte «La Femme-maGma» (SLH), inspiré par la performance «La fresque du ventre du monde»